Les effets positifs

A la base, le phénobarbital est utilisé pour contrôler les convulsions et c’est aussi un anti-épileptique. Il est prescrit autant à l’homme qu’aux animaux comme le chien, le chat, les chevaux, etc. Il est principalement prescrit pour traiter l’épilepsie ou encore l’épilepsie partielle (de légères crises de quelques secondes). Le phénobarbital agit en arrêtant l’action des neurotransmetteurs dans le système nerveux, c’est-à-dire qu’il ralentit le cerveau et le système nerveux. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est utilisé également dans le traitement de l’insomnie, chez certains patients souffrant d’insomnie chronique. Lorsqu’il est ingéré, le phénobarbital commence à faire effet une heure après l’ingestion et n’agit que pendant 10 à 12 heures.

Les effets néfastes

Hélas, aucun médicament n’est parfait. Bien qu’il soit efficace sur celui qui le prend, le phénobarbital a plusieurs effets secondaires. Le risque principal avec ce médicament, c’est la dépendance et ceci constitue un risque très élevé. Il provoque des étourdissements, une difficulté à se concentrer, de la maladresse, des troubles du sommeil, de la somnolence, des maux de têtes, des nausées, une sensation “d’absence” et autres selon les individus. Les effets secondaires du phénobarbital (bien qu’ils soient rares) agissent sur le physique mais aussi sur le psychique. Il arrive qu’il provoque des pensées suicidaires ou l’envie de s’automutiler. Si vous ressentez l’un de ces effets, informez-en immédiatement votre médecin et suivez à la lettre ses prescriptions.

Adopter une bonne alimentation

D’après des études scientifiques, une mauvaise alimentation entraînant un surpoids peut causer l’arthrose, surtout au niveau du genou. En effet, lorsqu’on est en surpoids, la surcharge s’appuyant sur les articulations augmente énormément et on commence à ressentir des douleurs. Pour éviter cela, mieux vaut équilibrer son alimentation et garder la ligne. Si vous apercevez l’un des symptômes de l’arthrose, à savoir le frottement des os, la raideur et l’inflammation, vous devez commencer à faire très attention en adoptant une bonne alimentation, c’est-à-dire une nourriture principalement composée de légumes, de produits céréaliers, de fruits, de lait, de viande ou autres substituts. Le fait de manger de manière équilibrée vous permettra en plus de rester en forme, d’avoir plus d’énergie au quotidien.

Pratiquer des exercices physiques

Avec une bonne alimentation, des exercices physiques réguliers vous permettront de demeurer en bonne santé et d’éviter l’arthrose. Les exercices activeront vos muscles régulièrement et contribueront à leur développement, ainsi qu’à leur renforcement. De ce fait, vos articulations seront bien protégées par vos tissus vigoureux. Par ailleurs, le sport permet de travailler principalement trois aspects, dont la force musculaire, la souplesse et l’endurance, ce qui vous permettra d’être plus tonique. Parmi les exercices physiques à favoriser, on peut citer les étirements qui soutiennent la mobilité des articulations, la natation qui fait travailler tout le corps, la marche, etc.

L’application d’un cataplasme chaud ou froid

L’application d’un cataplasme chaud sur la partie touchée par l’arthrose peut être efficiente afin de réduire les douleurs pendant une période déterminée. Lorsque vous sentez de la raideur ou des spasmes musculaires, vous pouvez utiliser cette méthode. Sinon, vous pouvez tout simplement prendre un bain bien chaud pour atténuer la douleur. Puis, vous pouvez aussi utiliser une compresse froide ou des glaçons enveloppés dans un linge sur la partie concernée afin d’amoindrir l’inflammation, ainsi que l’afflux de sang au niveau des articulations.

Leucémie aiguë

Comme son appellation l’indique, la leucémie aiguë se déclare brusquement, en seulement quelques jours et souvent, sans signes avant-coureurs. Très vite, le malade va voir sa santé se dégrader et il va développer tout un ensemble de symptômes. Ceux-ci sont le reflet de l’incapacité de la moelle osseuse à fabriquer du sang normalement. Les symptômes les plus fréquents sont l’essoufflement, la pâleur, une fatigue générale, un rythme cardiaque accéléré, etc. Comme le taux de plaquettes diminue, le malade peut avoir des saignements du nez ou des gencives, ou dans les formes les plus graves, au niveau de l’estomac ou du cerveau. Le nombre de globules blancs matures diminue également, ce qui rend le malade susceptible de contracter toutes sortes d’infections.

Leucémie lymphoïde chronique

Souvent, la leucémie lymphoïde chronique n’est détectée que lors d’un bilan sanguin par exemple. Le problème avec cette forme de leucémie, c’est qu’elle ne génère pas de symptômes, sauf de la fatigue et des infections à répétition dans certains cas. Lorsque le cancer est au stade A, c’est que les lymphocytes sont en augmentation. Le stade B signifie que la rate prend un volume disproportionné, de même que des ganglions notamment dans trois zones du corps : au niveau cervical, axillaire, inguinal. Au stade C, il est constaté une baisse anormale de plaquettes et de globules rouges associée à l’augmentation des lymphocytes.

Les médicaments antinauséeux

Pour que le voyage se déroule plus sereinement, vous pouvez prendre des antinauséeux qui sont d’ailleurs très efficaces. Dans cette catégorie des antinauséeux, on a les antihistaminiques qui ont une action sédative comme la diphénhydramine. Il vous maintiendra loin des nausées sur une durée assez longue, mais vous ne pourrez pas prendre le volant. Même si ces médicaments sont bien efficaces, vous ne pouvez pas vraiment en prendre comme bon vous semble. Une surdose peut provoquer des effets secondaires graves comme les troubles cardiaques.

Des remèdes naturels

Pour ne pas vous exposer à ces effets secondaires, vous pouvez traiter votre mal de transport par des remèdes naturels comme la racine de gingembre. Cette dernière est très efficace dans le traitement des nausées et des vomissements relatifs au mal des transports. Elle est disponible en pharmacie sous forme de poudre ou de chewing-gums. Pour ce qui est de la quantité à prendre pour éviter le mal de transport, référez-vous à la notice, car comprenez que la concentration est beaucoup moindre dans le chewing-gum que dans la poudre. Pour compléter l’action de la racine de gingembre, vous pouvez aussi inhaler une huile essentielle de mélisse ou de menthe poivrée.
La prise de certains médicaments tout comme l’utilisation des huiles essentielles n’est pas recommandée chez les femmes enceintes, les femmes allaitantes et les enfants moins de 7 ans. Dans ce cas, on peut se tourner vers les bracelets antinausées.

Cigarette électronique : quels impacts sur la santé ?

Dans ses débuts, la cigarette électronique a été fabriquée dans le but de limiter et de faire basculer progressivement les addicts du tabac, à ce type de produit. On voyait donc, en lui, un produit révolutionnaire qui permettrait d’arrêter définitivement de fumer. En effet, à travers un liquide parfumé et un étui qui permet de vaporiser ce liquide, on n’inhale plus de la fumée nocive et toxique, mais de la vapeur. Dans ce liquide, également appelé e-liquide, on retrouve deux principaux ingrédient dans ce cas, à savoir, la glycérine et le propylène glycol. Ces ingrédients sensés être sans danger au tout début, semble causer des dégâts à l’organisme après de profondes études. Cela, parce que selon les spécialistes, le propylène glycol ingéré attaque les parois de la voie respiratoire et les irrite. Également, ce même produit se trouvant dans la vapeur qui se dégage de la cigarette électronique, attaque les yeux et cause des inflammations. Par ailleurs, les grands consommateurs ont des risques d’irritation de la rate, mais aussi, de détérioration en s’exposant trop fréquemment à ce type de produit. Outre ce point, le propylène glycol, chauffé, se transforme à la longue, en oxyde de propylène qui peut être cancérigène. De son côté, le glycérol peut aussi avoir des effets néfastes sur la voie respiratoire.

Un effet direct sur l’ADN d’un individu

Après des études sur des souris, les spécialistes ont prouvé que la cigarette électronique peut aussi détruire et transformer la qualité de l’ADN d’un grand consommateur. Avec une dose de 10 mg par jour, à raison d’une consommation de 3 h en une journée et cela, sur une période de 12 semaines, cette détérioration peut se constater. Le résultat de l’étude a montré que sur cette période, les chercheurs ont constaté la présence de trous dans l’ADN des souris, et cela, surtout au niveau du cœur ainsi que la poitrine et la vessie. Par ailleurs, il a été également constaté qu’en inhalant les vapeurs de l’e-cigarette, l’ADN des souris ne se réparaient plus. Les cellules au niveau des poumons de ces derniers se détérioraient alors, tout comme celles au niveau de la vessie. À noter que les souris ont à peu près les mêmes structures moléculaires et cellulaires que l’être humain. Autre effet gênant de ce type de produit, c’est la présence de nanoparticules qui peuvent provoquer des cas d’asthme ou des réactions allergiques chez des sujets malades comme les bien-portants. Il est même possible que l’e-liquide soit à l’origine des cas de diabète chez certains sujets, et des cas d’AVC chez d’autres.

Un risque de dépendance et de consommation de cigarette classique chez les jeunes

Même si le but premier des e-cigarettes est d’aider les fumeurs à arrêter la cigarette traditionnelle, l’effet inverse peut se constater chez les jeunes qui consomment ce type de produit. En effet, dans un article publié par The official journal of the American Academy of Pediatrics, il y a des risques qu’en sachant et en s’habituant à la cigarette électronique, les adolescents basculent à la consommation de la cigarette classique. Ils voudront en effet, ressentir les effets plus virils et plus revigorants du tabac dès qu’ils arrivent à l’âge adulte où la consommation de ce type de produit devient légale.

Fatigue oculaire

La fatigue oculaire peut être causée par différents facteurs comme l’environnement sec, un travail prolongé devant un écran, la déficience au niveau de l’une des fonctions des systèmes visuels, etc. La démangeaison des yeux peut être un symptôme de cette fatigue. En cas de déficiences, vous devez prendre rendez-vous auprès de votre médecin spécialiste de la santé oculaire. Sinon, vous devez passer moins de temps devant l’écran et respecter certaines conditions, respecter les consignes du port des lentilles de contact ou encore porter correctement les lunettes de vue. Pensez également à ne pas trop exposer vos yeux aux courants d’air.

Les allergies saisonnières

Si en plus de souffrir de démangeaison des yeux vous avez aussi le nez qui coule et des éternuements fréquents, c’est que vous êtes probablement atteint d’allergies saisonnières. Vous devez alors consulter votre médecin pour voir si vous devez prendre des antihistaminiques. Mais, vous devez également minimiser les allergènes qui vous entourent (poussières, pollens, squames, etc.).

Les conjonctivites

La conjonctivite est la membrane fine qui recouvre la partie blanche de l’œil ainsi que l’intérieur de la paupière. Lorsque celle-ci s’enflamme, on dit que vous êtes atteinte de la conjonctivite. Les yeux qui démangent, les yeux rouges et les yeux qui larmoient sont les principaux symptômes qui permettent de reconnaître la maladie. En cas de conjonctivite, vous devez absolument consulter votre ophtalmologue pour éviter que la maladie s’aggrave.

Bons à savoir

Les démangeaisons des yeux peuvent être un symptôme de plusieurs autres maladies. Certaines peuvent même ne pas présenter des symptômes graves. Par conséquent, il est toujours préférable de consulter un oculiste pour en avoir le cœur net. D’ailleurs, certaines maladies ne sont détectables qu’après avoir effectué un examen oculaire complet.